On peut comparer Facebook à une boîte de bonbons multicolores, avec des saveurs différentes pour tout les goûts. Aujourd’hui, le réseau propose ses saveurs aux programmeurs.

Sujet qui fait le tour du net en ce moment, le rachat de Whatsapp par le numéro un des réseaux sociaux. Il ne s’agit pas d’un achat compulsif mais bien d’une décision stratégique pour redorer le blason de Facebook.

Comme promis, la suite de notre article « Fin de Facebook, un bilan exagéré – partie 1/2 ».
Si nous persistons à penser que le réseau n’est pas au point mort, c’est parce qu’il a toujours fait preuve d’une grande capacité d’évolution.

La rédaction de cet article a pour but de relativiser les constats faits sur la déchéance de Facebook indiqués par de nombreux sites. Pourquoi? Nous pensons que les avis sur la question sont exagérés.

On avait des doutes, des rumeurs circulaient, il semble bien que cela soit confirmé : la disparition à venir de Facebook. La cause ? Une lassitude qui s’installe auprès des jeunes. Ces jeunes, qui à 80% ont un compte sur le géant social, représentent le public le plus important du réseau. Par conséquent, le départ de cette catégorie risque de signifier la disparition du « number one » des réseaux sociaux.

Les moteurs de recherches ne sont pas le seul moyen de trouver et d’être trouvé sur internet : l’avis des autres et le « bouche à oreille électronique que constitue les boutons de partage de liens sont à l’origine d’une part croissante du trafic. Ce processus est appelé « navigation sociale ».

Pour commencer, un petit rappel sur le marketing et le commerce. La mercatique en français est une discipline qui consiste à concevoir des offres de produits en fonction du consommateur final et de ses attentes. La stratégie marketing se base sur la règle des 4 P: produit, prix, point de vente et promotion (ou communication).
Le marketing associé au web est appelé marketing électronique ou e-marketing. On trouve aussi des synonymes tels que marketing 2.0, webmarketing, netmarketing, cybermarketing ou encore cybermercatique. Celui-ci diffère du e-commerce ou vente en ligne, qui lui «désigne l’échange de biens et de services entre deux entités sur les réseaux informatiques» (Wikipédia).